Séraphin: déjà vu. Cruchon: pas bu
Visionné Un homme et son péché. Y ai retrouvé le romantelet original lu à l'adolescence. Beau film, touchant, il en reste quelque chose, même une fois enlevé tout ce qu'il doit à Pagnol, la scène empruntée à Gone with the wind (Alexis discutant Donalda avec une prostituée) et celle pompée à Road to Perdition (Séraphin dissimulé dans le bureau du notaire) et la fin piquée à Citizen Kane (le canif tenant lieu de luge).
Le bouchon de la bagosse a sauté toute la nuit. Vais la laisser finir de fermenter là où elle est.
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